Les appartements Nice Centre Carré d’Or sont situés en plein cœur de ville, entre le centre de Nice et la mer, dans le quartier Médecin.
Ce quartier, plus connu sous le nom de Carré d’Or est délimité par la mer au Sud, l’avenue Jean Médecin à l’Est, l’avenue Victor Hugo au Nord et le quartier dit des Musiciens à l’Ouest
Le Quartier des locations de vacances de Nice
Son climat à l’origine de sa renommée.
La côte d’azur, c’est d’abord une histoire de soleil.
Pas forcément un soleil d’été, celui que tout le monde imagine mais plutôt un soleil d’hiver, celui qui a attiré les premiers touristes anglais dans ce coin bleu du Sud de la France.
Ce climat méditerranéen, ses hivers doux, ses pluies discrètes et ses températures clémentes ont en effet fasciné les gentlemen anglais dès le début du XIX e siècle. Bon nombre d’entre eux se mit à fuir régulièrement la grisaille de leur Grande Bretagne pour le simple plaisir de passer l’hiver au chaud ou pour raisons de santé.
Le tourisme saisonnier était né. Se prenant au jeu des couleurs, ils furent de plus en plus nombreux à s’installer, le temps d’un hiver, en bord de mer dans des villas sublimes, aux jardins exotiques démesurés. Ils contribuèrent à forger le mythe de la côte d’azur.
La mer
L’immense méditerranée et ses reflets azur.
On devine les embruns depuis les fenêtres des studios.
En quelques enjambées, vous franchissez la zone piétonne, le jardin Albert 1er et vous voilà sur la promenade des anglais, rejoignant le mythe encore intact. Le chant des mouettes, le murmures des vagues, l’ombre des palmiers, la rondeur des galets et le bleu des chaises…
La bas, on se promène entre l’immensité de l’azur et les palais du début du XX e siècle ; le palais de la méditerranée, le Negresco. On aperçoit encore les décombres de la jetée du mythique casino sur l’eau. En prêtant l’oreille, on pourrait entendre les conversations des nobles anglais dont l’esprit anime cette promenade.
En descendant sur la plage, il est possible de s’attabler au fil de l’eau et même de piquer une tête, histoire de défier les vagues de la méditerranée.
Des tournois de beach volley au farniente le plus total, en passant par toutes les activités nautiques imaginables, le bord de mer s’offre à vous, sans modération.
Un environnement naturel privilégié.
Vacance au bord de mer
En bord de mer, protégée par Alpes, les phocéens ne s’étaient pas trompés quand ils fondèrent Nikaïa (Nice) en 350 Av JC à l’embouchure du Paillon.
Les éléments ont en effet, merveilleusement découpé le littoral. La confrontation de la montagne et de la mer offre un spectacle unique ; tantôt violent, avec ses falaises escarpées, et ses immenses rochers happés par la mer, tantôt paisible avec ses plages de sable fin ou de galets, lascivement étendues le long de l’azur. Au milieu, une multitude de criques offrent autant de points de vue sur la mer, à l’abri des regards indiscrets.
Le bord de mer a été modelé au gré des civilisations qui se sont succédées dans ce coin du sud de la France.
La touche finale revenant aux anglais qui, de la croisette à la promenade des anglais en passant par la baie des anges, offrirent aux vacanciers mille lieux de rencontre avec la mer, à l’ombre des palmiers.
Les villes mythiques se succèdent le long de la côte d’azur ; Cannes, Saint Jean Cap Ferrat Monaco… avec en tête, Nice, cœur historique, culturel et économique de la région.
L’arrière pays
La nature, dans les alpes maritimes peut être aussi plus sauvage. «L’arrière pays», comme on l’appelle familièrement, regorge de trésors insoupçonnés.
Les villages perchés aux cimes des collines, où les populations se réfugièrent dans un passé lointain, semblent se fondre dans le paysage. La Reine Victoria elle même ne se lassait pas de sillonner ces sentiers aux senteurs de lavande et de pin. Animés par la mélodie des cigales, ils la menaient à Rimiez, à Gairaut, à Aspremont, à Saint Pancrace, à Tende, à Villefranche ou à l’Italie.
Plus haut, les Alpes deviennent montagneuses et c’est un autre univers qui se découvre. C’est le domaine des aigles royaux, des gypaètes, des bouquetins et des chamois qui se rencontrent au détour des sentiers balisés du Parc du Mercantour. L’hiver, les alpes se couvrent de neige et offrent un formidable domaine skiable aux amateurs de glisse. Pour les autres, les promenades en raquette ou les dégustations de chocolat chaud sur les terrasses des chalets sont autant de manières de profiter de la montagne.
La culture au coeur de la Côte d’azur
Une histoire millénaire
Les différentes civilisation qui ont peuplé la côte d’azur ont légué à la région un fabuleux héritage culturel.
La côte d’azur est en effet habitée depuis plusieurs millions d’années. Les ligures, les phocéens, les romains, les chrétiens, les italiens, les anglais et même les barbares y ont disséminé nombres de chefs d’œuvre.
Les vestiges de la préhistoire de Terra Amata, de la vallée des merveilles, ou des grottes de Lazaret.
Les peintures rupestres du Mont Bégo témoignages de la civilisation ligure.
Le port de Fréjus fondé par Jules César, les ruines de Cemenelum, (Cimiez) capitale de la province des alpes maritimes rappelant la présence romaine.
Le monastère de l’ile Saint Honorat ou Le palais Lascaris à Nice, legs du christianisme.
Les façades en trompe l’œil ou les couleurs éclatantes des immeubles héritées de l’influence italienne.
Les villas et les jardins exotiques laissés par les monarques anglais.
La côte, source d’inspiration artistique
La culture sur la côte d’azur ne se résume pas à cet héritage historique. Elle continue de fasciner les fondateurs de la culture contemporaine.
Ses couleurs éclatantes, chaudes et lumineuses furent source d’inspiration pour des peintres tels que Renoir, Monet, Picasso, Miro ou encore Matisse.
Elles furent couchées sur du papier par des écrivains tels que Mérimée, Colette, Gide ou Cocteau.
Elles illuminèrent les étoiles du cinéma d’hier et d’aujourd’hui. Les Garbo, les Signoret, les Montant se dévoilèrent notamment au travers du festival international du Film de Cannes.
Elles s’égrènent en notes légères les soirs d’été à l’occasion du festival du Jazz de Nice.
Côte d’azur & vie nocturne
Les monarques anglais avaient initié cette tradition un hiver de 1764 ; leur séjour sur la côte devrait se dérouler sous le signe du divertissement et des plaisirs. A l’époque le Prince de Brunswick et le duc d’Yorke rivalisaient de créativité pour proposer des fêtes toujours plus sublimes. Nice devint alors le lieu de villégiature préféré des grandes familles d’Europe.
Aujourd’hui encore cette tradition se perpétue dans les villes du bord de mer ; la fête y est constamment présente. Serait-ce lié à la mentalité méditerranéenne ou à la douceur des nuits ?
Toujours est il que la côte d’azur est en ébullition, la nuit tombée.
Restaurants, bars et autres discothèques dévoilent leurs atours pour le plaisir des noctambules qui souhaitent profiter de la côte jusqu’au petit matin.
Nice a toujours été le cœur et le poumon de la côte d’azur.
Les hommes préhistoriques
Avant même le début de l’histoire, les hommes préhistoriques vinrent s’installer dans les vallées niçoises. A l’abri du vent, cachés par les alpes, baignés d’un abondant soleil, ils comprirent que ce lieu était idéal pour bâtir une civilisation.
Les Ligures
Les ligures profitèrent plus tard de l’accueil chaleureux de cette terre bienfaisante. Les peintures rupestres retrouvées dans les grottes alentours sont autant de témoignages de la douceur de vivre en ces lieux enchanteurs.
Les Grecs
Nikaïa, semblait dotée de tous les atouts. Protégée par la montagne, plus proche de la mère patrie, elle surplombait la Méditerranée. Nice devint un haut lieu d’échanges maritimes, point de liaison incontournable entre Marseille et l’Italie, à deux encablures de la Corse, étape ultime avant l’Afrique et l’Orient.
Les Romains
Les Romains eux même choisirent Cemenelum (Cimiez), une des trois collines de Nice comme capitale de la provincia romana. Nice était proclamée capitale de la Provence. Les romains dotèrent la ville de structures qui lui permirent d’asseoir son statut de capitale. (routes pavées, aqueducs, thermes, arènes, administrations…)
Les Barbares
Lorsque les barbares envahirent l’Europe, Nice devint l’objet de toutes les convoitises. Erigée en comté indépendant, Nice fût la proie des puissances Européennes naissantes. Les populations se retranchèrent dans la forteresse naturelle que leur offrait les Alpes.
Nice pliât mais ne rompit jamais. Tantôt Italienne, tantôt française, elle fût toujours plus désirable.
Les Anglais
Les hivernants britanniques façonnèrent le bord de mer au grès de leurs désirs, avides qu’ils étaient de promenades en bord de mer et de soleil.
Tout était conçu pour oublier l’hiver ; jardins exotiques, palais somptueux, festivités féériques et la construction d’une promenade le long d’une mer redécouverte sous les couleurs étincelantes du midi.
Sa majesté la reine Victoria n’aimait elle pas à venir se prélasser sous notre bon soleil, loin des affaires de la cour et de l’étiquette ? Les anglais taillèrent Nice tel un joyau coloré et raffiné qu’ils offrirent ensuite aux têtes couronnées du reste de l’Europe.
Les Touristes
Les congés payés et l’avènement du bain de mer offrirent aux déferlantes de vacanciers plages de galets et chaises bleues. Nice devint la station balnéaire que l’on connait aujourd’hui : moderne et résolument authentique.
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